Mon frère m’en a donné une pincée, on le voit, pour que j’expérimente la culture de cette richesse locale. Chaque graine peut aboutir à un oignon.
J’en ai planté quelques unes dans de petits pots à semis, recouvert d’un terreau que j’étais allé cherché dans les sous-bois. Le reste, je l’ai semé dans deux sillons de mon jardinet de moinillon, derrière le cabanon.
Mon frère me les a données en insistant sur le fait qu’il s’agissait là d’un trésor. C’est vrai que, dans la région des Cévennes, la culture de cet auguste légume est un succès économique incontestable, qui permet de repeupler – ou tout au moins de réexploiter – de nombreux hectares qui étaient laissés à l’abandon.
Dans le même mouvement et la même journée, j’ai aussi semé du basilic et planté de l’ail. Nous verrons bien si le sage précaire a la main verte ou pas.
C’est bizarre…
Ça me fait penser à des graines de nigelle.
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Je n’ai aucune idée de ce que c’est, Cochonfucius. Donc je te crois.
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À vrai dire, je n’en avais non plus aucune idée, mais j’ai suivi la suggestion de Curare… (voir l’entrée « Devinette » ci-dessous). Une ressemblance existe, certainement.
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http://huile-nigelle.blogspot.fr/
Tant pis pour la recette des maux,
les oignons, c’est bon pour les thons !
Na !
Et les devinettes c’est cruelles et mortelles-
(Je crois que Curare est vexée – 😉
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Je pense que c’est la variété des oignons doux de Lézignan, très bons dans la salade, pas piquants du tout, et on en trouve seulement dans le Gard et les Cévennes (pas à Lyon, hélas…) Chanceux, va !
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