Que faire quand on voyage et que son père est en train de mourir ?
Se précipiter vers lui ?
Mais à quelle fin ?
Ne sachant quelle attitude adopter, j’ai décidé de voyager pour mon père et de lui écrire tous les soirs.
Comme c’était un voyageur lui aussi, et un grand amoureux de l’Afrique, j’ai voulu le faire voyager une dernière fois par mes lettres du Brésil, le faire sourire, le soulager de ses peines. Faire entrer dans sa chambre d’hôpital un peu de l’air océanique qui soufflait sur Rio de Janeiro.
Cela s’appelle un récit de voyage « balsamique ».
Balsamique, pas comme le vinaigre, mais comme le baume qui soigne et console.
C’est une correspondance d’un genre particulier puisque le destinataire n’est plus en mesure de répondre. Le voyageur reçoit des courriers de ses proches qui l’informent de l’évolution du père, et cet échange de courriers tisse petit à petit un chant d’amour et de voyage en l’honneur du père qui s’en va.
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Version brochée, €12,66 : http://www.amazon.fr/dp/1508497532
Je regrette tant que peu de monde de ma famille ne s’est pas interessé à ce livre! Voyage et Amour,deux souvenirs que m’a laissé ce livre! Je veux parler de « Lettres du Brésil ». Ton blogue sur Oman commence bien!
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Merci Xavier. Les livres en général n’intéressent pas beaucoup de gens. Quand on écrit, on sait qu’on ne déchaîne pas les foules. Pour ma part, je suis très heureux du lectorat de Lettres du Brésil.
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