Un petit peuple, une minorité ethnique de la Chine, qui vit dans les plis de quelques montagnes. Dans les villages, les hommes se reposent sous les ponts de bois sculpté. Ils ont construits un tas de machins en bois, ils attendent maintenant que les femmes fassent à manger.
Les femmes sont d’adorables brodeuses. Leurs boîtes à broderie intéresseraient grandement Leibniz, s’il était encore en vie. Elles intéresseraient aussi Breton, et Freud, tiens, et n’importe quel hurluberlu qui reste interdit devant des objets qui bousculent et renversent nos catégories mentales. De la fermeture la plus froide à l’ouverture béate. De la surface à la profondeur, ces boîtes réalisent tout.
Extraordinaire.
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Merci pour votre message dans mon blog. Je dois reconnaître que la Chine me manque assez recemment. Mes m’ont dit une fois encore: restes bien ici, en France. Si tu rendres en Chine, tu seras pourri très vite…
Votre livre sort quand?
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Merci Chantal.
Cai, vous savez que vous êtes le bienvenu à Fudan si vous pouvez vous immiscer en Chine. Je ne crois pas que vous vous corromprerez.
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