
Puisque les poètes ont osé parler, et qu’ils se font insulter depuis, peut-être peut-on tendre une oreille à l’émission de radio qui leur donne voix.
Les poètes ont osé exprimer leur désaccord vis à vis de la nomination du parrain d’un événement qui les concernaient directement. Pour qui se prenaient-ils ? Ils avaient oublié que quand on vend peu de livres, quand on n’est pas célèbre, ouvrir sa bouche est d’une grande impolitesse.
La presse a donc eu le droit de les traiter de cafards, de nains, de médiocres, de jaloux, de délateurs, de censeurs, de wokistes, etc.
Cette émission de radio donne la parole à trois intervenants du monde de la poésie contemporaine, l’une est poétesse, l’un libraire et l’autre éditeur.
En tout cas ça a marché pour la com du festival. La directrice n’aurait pas du demissionner, elle a bien rempli le contrat. On n’en avait jamais tant parlé, de ce festival, ni du reste de poésie et de poètes…. BFM, parler d’un festival de poesie, on aura vraiment tout vu, tout entendu…
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Tout à fait, la publicite n’a pas profité qu’à Tesson dans cette affaire. Même les éditeurs de poésie n’ont jamais vendu autant de livres. Parfois ça a du bon de se faire insulter.
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Merci pour le lien.
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