De retour sur le terrain après un long week-end d’anniversaire, pour les 70 ans de ma mère, une voix manque. Celle du chat, qui a disparu.
C’était la grande interrogation avant mon départ. Allait-il survivre ? Allait-il s’ennuyer ? Allait-il avoir assez à manger ? Allait-il chasser et se sentir appartenir au terrain, comme le sage précaire son maître indécis ?
Il aura trouvé une famille plus aimante.
Ou alors il aura été mangé par un renard.
Conseils de base : lui mettre une soucoupe de lait, en parler aux (rares ?) voisins, croire a son retour, les petits chats sont des etres independants, comme l histoire a bien commence, il se peut qu il revienne, donner des nouvelles sur le blog, thanks
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Il s’est probablement constitué un circuit d’approvisionnement, dont tu as toutes les chances de rester partie prenante.
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C’est beau ce que vous dites là.
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C’était bien à prévoir. Laisser ainsi un chaton sans défense et encore incapable de se défendre contre les prédateurs de la nuit, cela relève de « l’irresponsabilisme » et d’un choix assumé du Sage précaire. Les animaux protègent leurs petits jusqu’à ce qu’ils soient en mesure d’être autonomes. Même les humains font ça!
De mon point de vue, puisqu’ayant adopté l’animal, le Sage précaire lui devait protection. Le Sage précaire a failli, livrant le chaton à la belette.
Qu’on le mande en chemise à Notre-Dame de Rouvières afin qu’il expie.
(nb: Le sage précaire est maintenant docte et dûment diplômé, et ayant tenu mon engagement de passer ce blog de commentaires jusqu’à la fin de la mise entre part-en-thèse de notre ami, ben, me r’vla !à!)
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Miam, gloups, burps !
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Il est peut-être parti tout simplement en vacances ton chaton…
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Non, pas en vacances, il est juste au café cévennol du coin bourré au pastis et dépense son argent de poche au baby foot. Faineasse , vilain chat !
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