Les visiteurs qui liront ceci croiront que je me promène toujours entre des mazet cévenols alors même que je suis en train d’écumer le pavé parisien.
Les services de la sagesse précaire doivent encore faire face à des appels et des réclamations de toutes sortes. Les employés et l’armée de bénévoles, sans qui la sagesse précaire ne serait rien, paniquent et s’arrachent les cheveux. Eux-mêmes ne sont jamais certains de savoir où se trouve le sage précaire.
D’aucuns disent que cette manie de ne pas être là où on le cherche est le signe d’un esprit manipulateur. Mais je nuancerais cela. C’est plutôt mon côté libéral : je laisse les services s’organiser par eux-mêmes et répondre comme ils veulent aux demandes incessantes d’un public affolé. La sagesse précaire, c’est aussi une modalité de l’art de déléguer.
Comme le personnage de Marc Twain qui permet aux copains de peindre la palissade du jardin de l’oncle.
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« Mark » Twain, pardon.
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Gentil Précaire, en quoi ça nous câlisse de savoir que tu publies sur planifier de Word Press.Y-a-t-il dans ta vie tellement rien d’autre à écrire comme exercise de style, ou ta vanité interfère-t-elle sur ton bon sens. Impression que ce post se cherche une conséquence. Les Oignons des Cévennes, que n’en-as-tu fait un récit à la Ramuz, et, cependant, je crois bien que tu n’es en tout cas nullement poète et que ta prose se construit au fur et à mesure . J’aime te lire le matin lorsque tu produis un texte enduit de ces autres(le monde extérieur, l’ailleur meilleur) qui sont tes muses et que tu exploites d’exellence façon, parfois…
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http://fee.allmyblog.com/
Il y a sur ce site, quelques extraits
De musique qui te rendront distrait
Où que tu sois_______je tire 1 trait
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