Ma chère Joanna,
Je viens de changer la couverture de mon livre sur le Brésil, car l’ancienne me pesait un peu. Je la trouvais un peu pisseuse, je ne saurais trop dire.
L’intérêt de publier un livre numérique réside dans le fait que tu peux changer des choses au fil du temps. la couverture, par exemple, quelle nécessité de garder toujours la même ? J’ai en réserve un certain nombre de photos du Brésil qui pourraient faire de belles illustrations, quel dommage de n’en garder qu’une.
Aujourd’hui j’ai fait jouer le hasard. J’ai utilisé le logiciel de « création de couverture », qui vous propose soit de piocher dans sa réserve de photos libres de droit, soit de télécharger sa propre image. Celle-ce est apparue et m’a paru parfaite.
On te voit assise dans la cathédrale de Brasilia, avec ce grand ange suspendu. Il y a tout ce que j’ai écrit dans cette image : le charme, l’architecture, la féminité, la religiosité et une mélancolie haute en couleur.
Dis-moi vite si tu es d’accord pour que ton image soit visible sur un livre commercialisé. Cela ne durera que quelques semaines, avant que je change à nouveau.
Um abraço.
Guillaume
Pour le livre en papier, c’est au fil des rééditions, ou des traductions, que l’image de couverture est renouvelée.
Voir en particulier
http://www.avclub.com/article/more-600-covers-philip-k-dick-novels-around-world-215421
avec six cents exemples.
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Moi, je vais m’amuser comme un fou et faire un livre aux couvertures multiples. Je vais même prendre des risques, vous allez voir.
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Ecrire dans la cathédrale de Brasilia. Très bon symbole. L’image me plait bien. Le fond orange derrière l’auteur un peu moins. Je viens de consulter le livre sur le Cloud reader https://lire.amazon.fr/ La nouvelle couverture est bien apparue, mais le texte est resté avec les anciens noms. Et quand je demande à la table des matières « couverture », c’est la couverture avec le vieux Nordestino qu apparaît. Mystères de la mise à jour d’Amazon.
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Merci ebolavir. Je suis d’accord, le bandeau orange n’est pas sensas. Cela changera, comme toute chose.
Les anciens noms restent, je suppose, dans les livres qui ont été achetés avant le changement. Je vais demander aux acheteurs récents ce qu’ils lisent comme nom. D’ailleurs, tiens, je le dis ici pour les éventuels lecteurs : La première Brésilienne que le narrateur rencontre, s’appelle-t-telle Teresa ? Son fiancé s’appelle-t-il Washington ? Son amie malvoyante Lucinda (jeu de mot faible mais joli) ?
La deuxième s’appellera Flavia, car je n’ai pas changé ce nom-là pour une raison simple : j’ai inventé ce personnage et les aventures qui nous arrivent.
La troisième s’appelle-t-elle Joana ?
La quatrième Telma ? Son mari Kurt ?
Si ces personnages ont un autre nom, c’est une erreur, et je dois y remédier.
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Bonjour Guillaume. Je viens de lire Lettres du Bresil, merci pour ce beau plaisir. Les ecrivains voyageurs ne m’attirent pas d’ordinaire, et je n’aime pas l’autofiction, mais votre livre se lit avec interet. Alors je confirme que les noms sont bien ceux que vous dites, Telma, Lucinda (la lumiere pour une malvoyante 🙂 Joana et Teresa.
J’aime beaucoup la couverture, la jeune femme a l’air si reccueilli, c’est une nouvelle image du Bresil. Cela aussi je voulais vous le dire, le Bresil ne presentait pas d’interet pour moi, et vous avez reussi a me rendre ce pays attachant. Sa capitale surtout. Brasilia, je reve d’y aller maintenant.
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Merci beaucoup Louise. Bon, nous pouvons être soulagés, les noms ont bien été changés.
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