Vingt ans de blog : aidez-moi à célébrer l’anniversaire qui approche

Photo gratuite générée automatiquement quand j’ai saisi les mots « Blog de vingt ans »

En juin, qui arrive à grands pas, ce blog fêtera ses vingt ans d’existence. Le tout premier billet date de juin 2005. Vingt ans d’une expérience d’écriture qui m’a fait plaisir et dont je suis même un peu fier.

Je voudrais marquer le coup, mais je ne sais pas comment. J’aimerais pouvoir faire des cadeaux à mes lecteurs, mais je ne sais pas lesquels. Si certains parmi vous ont des idées, elles sont les bienvenues. Des Thermos à l’effigie du sage précaire ? Non, ça n’a pas de sens. Des T-shirts ? Certainement pas, je suis opposé à la surproduction de textiles.

S’il me reste des exemplaires de mes livres publiés, je serais heureux d’en offrir quelques-uns, dédicacés, mais je ne suis pas certain que ce soit un cadeau très intéressant. En tout cas ce serait des raretés car tous mes livres se sont très bien vendus et sont aujourd’hui épuisés…

Peut-être pourrions-nous publier un petit livre avec une sélection de billets du blog, et l’offrir à quelques lecteurs ? Par tirage au sort ? Une espèce de tombola du sage précaire ?

Quelque chose s’annonce à l’horizon. Son regard commence à poindre.

Tenez-vous prêts. Et si vous avez des idées, n’hésitez pas à me les souffler. Car, en vérité, je ne suis pas très fort pour célébrer les anniversaires.

3 commentaires sur “Vingt ans de blog : aidez-moi à célébrer l’anniversaire qui approche

  1. Bonjour Guillaume,

    Préserve le dans le cloud ;

    1 jour une princesse a fait cela pour mon cher génie qui s’en est allé

    Voici le lien : https://dictionnaireducacique.wordpress.com/isidore-ducasse-poesie-commentee/

    Ton blog deviendra alors 1 trace indélébile qu’1 IA engloutira . .

    Nos chers livres que deviendront ils ?

    Pardon je n’aime pas les comptes à rebours . . pardon les anniversaires

    1 anecdote de mon cher génie

    Il avait ce don de retenir les dates de naissance et décès de célèbres humains

    Il m’impressionnait

    Et puis il est mort . . seul

    Qui s’en soucie . .

    J’aime

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