1000 fleurs pour le sage précaire

Mesdames et messieurs, j’ai l’honneur et la joie de vous annoncer que ce billet est le millième du blog.

Voilà.

Je tenais à marquer le coup.

13 commentaires sur “1000 fleurs pour le sage précaire

  1. -Le nombre m i l l e possède 1 signification paradisiaque ,
    c’est l’immortalité du bonheur-
    On est encore loin du millénarisme,
    appliqué au règne du __Messie_

    Par delà mon ombre, je t’envoie mille et ___1 fleurs,
    1 seule restera, celle-là sera pour un autre –

    Aimé par 1 personne

  2. Mille billets ? Félicitation au sage précaire. Mille articles, ça doit se fêter avec un livre de mille pages. Une sélection des meilleurs articles, car certains font beaucoup plus qu’une page.
    Je t conseille de faire un ebook. Ca coûte presque rien et tu peux mettre plein de photos. Tu le mettra en vente sur les librairies en ligne et c’est un bon moyen de conserver tes petits contes de fées du monde flottant.

    J’aime

    1. Bonne idée Fred, mais je n’aurai jamais le temps de m’occuper de cela. Si j’étais cynique, je piocherais dans la vaste pépinière des étudiants en recherche de stage non payé, afin de mettre au point ce manuscrit. Pour le choix desdits articles, on pourrait demander aux lecteurs d’élire deux ou trois billets et on prendrait les plus populaires.
      Pour être complets, et parfaitement démagogique par la même occasion, on inclurait aussi un certain nombre de commentaires, qui donnent la vie à ce blog.

      J’aime

      1. Coucou Guillaume
        j’ai voulu poster un com depuis mon téléphone, il a été « accepté », mais n’est pas apparu sur ton blog. Bizarrerie de la technique. C’était un éloge de Catherine Certitude, l’album que Modiano et Sempé ont commis ensemble. Chouettes dessins, texte modianesque, avec les thèmes que l’on trouve dans ses livres, comme Livret de famille. Ces livres sont parus en poche.
        Quand écris-tu un billet sur Lydie Salvayre ?

        J’aime

      2. Je n’ai pas l’habitude de parler des prix Goncourt, Nénette. J’en ai d’ailleurs peu lu, à part celui de Proust (1919 si je ne m’abuse), Malaisie d’Henri Fauconnier (1930), La Condition humaine de Malraux, Un grand pas vers le bon Dieu de Jean Vautrin (années 80), Les Champs d’honneur de Jean Rouaud (années 90), L’art français de la guerre d’Alexis Jenny (récemment).
        Or, Lydie Salvayre, c’est la seule lauréate avec qui j’ai bu un café. C’était il y a dix ans, à Dublin. Lors du festival franco-irlandais. Elle était très gentille et avait été très reconnaissante que je l’emmène dans ce café original qui dominait le fleuve Liffey.

        J’aime

  3. Moi je dirais qu’il y a aussi de la rêverie comme lorsqu’il raconte les lieux de Lyon, on croirait lire Proust (enfin moi);toutes ces places qu’il se plait en descriptions comme si personne ne connaissait la Croix Rousse et autre lieux de Lyon;en tout cas moi je me complais dans ces lectures-là et je voyage au grée de ses élucubrations tous plus charmante les unes des autres; que la sagesse du précaire m’alimente pour encore mille billets.

    J’aime

Laisser un commentaire