Un titre pour mes lettres brésiliennes

Et puisque j’en suis à demander de l’aide à la communauté des lecteurs, ne nous arrêtons pas en si bon chemin. Je voudrais un titre, un beau titre pour cette correspondance de voyage. Pour savoir de quoi il s’agit, prière de lire le billet précédent.

Voici quelques essais qui ne me satisfont pas :

Lettres brésiliennes

Correspondance brésilienne

Le Brésil pour aider mon père à mourir

Mon cher papa. Lettres d’un voyageur à son père

Voyager pour mourir

Voyager et Mourir. Courrier du Brésil

Terminal samba

L’idéal, ce serait quelque chose de beau et de rigolo. Un titre qui fasse comprendre d’emblée de quoi il retourne, mais qui fasse sourire en même temps. Je ne sais pas pourquoi, je sens qu’en cette occurrence le titre va jouer un grand rôle.

Quelqu’un a-t-il une idée ?

17 commentaires sur “Un titre pour mes lettres brésiliennes

  1. je trouve que
    « récit de voyage balsamique », ça sonne plutôt bien.
    je propose : « au nom du Père, du Fils et du Brésil. » Tu peux rajouter « amen », aussi…
    ou « Brésilience » (un mixte entre Brésil et résilience).
    ou « lectures brésiliennes d’un voyageur alité »
    ou « le Brésil à portée de voix ».
    Bon courage.
    Cat

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  2. __Saudade du Brésil__

    (Lettres à mon père)

    Ce mot ‘saudade’ revêt une connotation difficile à traduire ..

    Cela viendra du fond de ton cœur ..
    si je dois écrire 1 livre, je l’intitulerai :
    Demain , j’irai changer mes larmes –

    Cochonfucius l’a joué ‘caustique’ 🙂

     »Récits à l’article de l’amor » __ ma foi !

    Aimé par 1 personne

  3. J’adore ce mot – Ce titre est déjà vivant donc –

    (Oui Cochonfucius peut se permettre d’aller plus en ..profondeur !)

    J’ai écrit ce poème en pensant à toi (pour tes origines cévenoles)

    Au Cagnard » –

    Entendez le récit du maître d’école
    Sur le sol du Larzac, pays où les serpents
    Se meurent de l’ennui – Il allait en grimpant
    De talus en talus sauf quand le dieu Éole

    Soufflait le vent terral qui par trop caracole
    Cet air des Cévennes vous piquait les tympans
    Il cherchait un abri sur des rochers grimpants
    Et puis il restait là des heures à guetter sans gloriole

    Sans rien faire du tout que boire le soleil
    Et à quoi il pensait ? A rien ses sens sans éveil
    Il oubliait son cœur devenant toute chose

    La ferme, les rochers, les buis étincelants
    La noirceur du corbeau ses cris ensorcelants
    Quand le Causse sombrait, il suspendait sa prose __

    _____14/08/2014____à Edmond Teissier

    (juste 1 exercice d’entrainement pour exercer les rimes)
    voici le lien :
    http://marsyas2.blogspot.fr/…/edmond-teissier-au-cagnard-ex…

    Aimé par 1 personne

    1. Très belle idée, surtout que le chorinho est une musique qui correspond assez bien à l’esprit que je voulais insuffler dans mon livre : léger, rapide et éploré.
      Mais on ne connaît pas assez le Choro pour que cela fasse sens dans le lectorat francophone.

      J’aime

    1. Ah ah ah. En plus de la blague, j’apprécie grandement de voir côte à côte les termes de viatique et de balsamique. Je les utilise tous les deux dans mon texte. Viatique, surtout, clôt ma toute dernière lettre ; il combine un sens religieux (ce qu’on donne à un mourant pour son dernier voyage), et un sens profane (ce qui se rapporte au voyage en général). Ce sont donc des écrits viatiques à prendre comme un Viatique.

      J’aime

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