Au bord de l’eau

Dans cet article publié à Shanghai, je parle de mon émerveillement devant la vie des Nankinois au bord de l’eau. En particulier de ce qui se passe autour du Lac des Nuages Pourpres, dans la montagne de Nankin.
Paru en chinois dans l’hebdomadaire Oriental Outlook.
Regardez le nom chinois que j’ai l’honneur de porter. Un vrai poème à lui tout seul.

Lire à ce sujet, PLOUF

La Précarité du sage, 02 juillet 2008

Ce nom m’a été donné en 2004 quand je suis arrivé à Nankin pour y enseigner le français. J’avais demandé à une collègue chinoise de m’aider dans cette tâche. Elle avait décomposé mon prénom en trois sons : Guillaume – Gi Yao Mou. Puis elle a cherché les meilleurs idéogrammes se rapportant à ces sonorités, et enfin elle leur a donné un ordre qui lui paraissait plus joli.

记慕尧,Ji Mou Yao : L’homme qui admire l’empereur Yao.

2 commentaires sur “Au bord de l’eau

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