De passage à Hangzhou, mon hôte m’a fait visiter son jardin préféré, en bordure du grand Lac de l’ouest.
J’ai retrouvé intacte mon émotion due à l’encadrement des paysages.
Parfois, il semble que les jardiniers érigent des murs dans le seul but de les percer et de créer ainsi des points de vue, des cadrages, des stimulations pour l’œil.
Voir aussi
http://nonihil.hautetfort.com/archive/2008/04/13/selamat-datang.html
La substance du rêve est celle d’origine,
Mais de l’autre côté d’un étrange miroir
C’est une autre substance, et je ne peux la voir,
Pourtant, à mon réveil, parfois je l’imagine.
Est-ce un miroir, ou bien, un tunnel, un couloir ?
Serait-ce l’intérieur d’une sombre machine ?
C’est noir comme serait un flot d’encre de Chine,
Pas moyen de trouver quel nom ça peut avoir.
C’est peut-être de l’eau, mais peut-on s’y plonger ?
Est-ce froid, est-ce chaud, quels en sont les dangers ?
Est-ce un milieu poreux, est-ce une chose abstraite ?
Y parvenir serait un aboutissement…
Non par la progression, mais par un glissement ?
Y passer désormais sa paisible retraite ?
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Oh, merci, Guillaume, de montrer cette beauté. Des fenêtres rondes comme des pupilles…
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Merci à toi Nénette.
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