Puis arrive le moment fatidique de la couverture du livre. Que choisir ? Une tonalité minérale ? Océanique ? Culturelle ? Doit-on privilégier la sensualité ? La nostalgie ? L’érudition ?
Le titre a été trouvé par Pierre, qui s’occupe de la création informatique du livre numérique. Après lecture du manuscrit, il a modifié le titre pour le rendre plus fidèle au contenu. Je l’en remercie.
C’est encore Pierre, plus connu sous le nom de plume d’Ebolavir, dont le blog fait les beaux jours de la culture chinoise francophone, qui se trouve aux manettes du graphisme final. Il propose ces quatre couvertures, où l’on reconnaît trois photos que j’ai prises au Brésil, et une carte de la Renaissance.
Encore une fois, je fais appel aux lecteurs de La Précarité du sage pour m’aider à faire un choix. Je suis vraiment dans l’embarras du choix et, pour tout dire, j’aimerais proposer aux acheteurs éventuels qu’ils choisissent la couverture qu’ils préfèrent. A l’ère du numérique et de l’internet, ce genre de service devrait être monnaie courante.
Pour l’heure, il faut discriminer. Quelle couverture vous plaît le plus ? La réponse à cette question ne vous engage à rien et n’est lié à aucune obligation d’achat.
Je vote pour la carte de la Renaissance.
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Comme par hasard. Merci Cochonfucius.
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Merci Tallita, pour ce commentaire élaboré. C’est un vrai plaisir de te lire dans ce blog.
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Pour faire une couverture, il faut une image suffisamment forte sur le sujet du livre, large comme la 3, si bien qu’on est libre de mettre le titre dans le blanc en dessous ou au dessus, ou bien haute pour remplir l’espace, mais il faut des surfaces calmes où on peut mettre le texte. La carte ancienne n’a pas de « surface calme » mais elle a des dessins assez petits et un contraste assez doux pour que les lettres se voient, c’est limite quand même.
Faire avec autre chose qu’une image n’est pas à la portée d’un amateur (penser à la couverture blanche de Gallimard).
Aussi: la couverture est faite pour vendre le livre, « l’impulsion d’achat » comme disent les socio-psy. Donc il faut que ça se rattache à une idée reçue que le lecteur reconnaît. C’est avec ça que j’ai choisi les images. Ce sont juste des exemples, beaucoup d’autres images que je ne connais pas répondent à la question.
Pour avoir toute une variété d’un coup d’oeil, dans le décor du magasin Amazon http://minilien.fr/a0nv3u
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J’opte pour la numéro quatre, Brasilia, en raison de sa lisibilité.
Les autres ont besoin qu’on s’y arrête pour être comprises.
Le lecteur de livres électroniques doit avoir le regard capté, il ne prend pas la peine de déchiffrer, rien ne le capte, il est déjà passé à la page suivante.
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Merci Xiaobob. Vous nourrissez une bien piètre image des utilisateurs de liseuse électronique.
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Moi je vote pour la carte Renaissance.
Par contre, il faudra que le graphiste fasse en sorte que le texte soit beaucoup plus lisible. En l’état, le titre est difficile à lire… Mais avec quelques tours de passe-passe, ça fera une magnifique couv’!
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Merci Sylvie, on verra ce qu’on peut faire pour les tours de passe-passe.
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Je vote pour la quatre.
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Merci Philippe ; c’est dûment noté.
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Je vote pour la quatrième.
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je vote pour la carte Renaissance (pour des raisons évidentes)
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