Le sage précaire pense tous les jours à son terrain.
C’est un élément de dissonance dans la sagesse précaire qui, depuis les années 2000, avait réussi à faire coïncider les lieux du désir et les lieux de vie.
Depuis l’achat de ce lopin, coincé sur un coteaux de Val d’Aigoual, le sage désire passer du temps sur sa terre mais il se doit de vivre en d’autres lieux. Il y a donc une espèce de déchirement mais qui n’est pas douloureux car, en échange de ce sacrifice, il vit sa plus belle histoire d’amour avec celle qu’il a épousée, et il économise l’argent nécessaire pour, plus tard, passer le temps qui sera nécessaire pour faire de son terrain un lieu de vie et de vacances pour sa communauté.
Soyons assurés que tu vas mener une sage politique d’investissements à ce propos.
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Oh oui, sage car précaire.
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Moi je viendrais bien t’aider à faire une cabane, même sans l’envie de porter des pierres et d’abattre des arbres, une belle cabane, solide et bien faite, mais, pour l’amour de Dieu, il faut un chemin d’accès!
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Ah oui ? Merci beaucoup pour cette offre de coup de main. Très appréciable. Une cabane de quelle matière imagines-tu ? En pierre ? En bois ? En terre ? Creusée dans la terre ou la roche (troglodyte)? Mon terrain offre toutes les options d’architecture vernaculaire.
Je prévois de faire un chemin carrossable en effet, mais je ne l’aménagerai que lorsque j’aurai enfin le loisir de rester sur le terrain assez souvent dans l’année. Pas de chemin tant que j’habite loin.
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