Depuis la route qui monte au Puech Sigal, les arbres s’éclaircissent et laissent voir le mazet de mon frère. Il se fond dans le paysage, et personne ne saurait dire qu’il y a là-haut un chantier qui mobilise deux vaillants travailleurs.
Ci-dessous quelques photos qui montrent grossièrement les changements opérés depuis deux mois.
La façade nord :
L’entrée, lattérale, qui nécessitait qu’on se baissât pour entrer (on croyait que c’était à cause de la petite taille des anciens Cévenols).
L’intérieur, dont je donnerai de meilleures photos à mon retour de Paris. Car pendant mon absence, mon frère posera une fenêtre et une porte, et dans une semaine, je m’installe dans ma nouvelle maison pour l’hiver :
Enfin un petit détail dont je laisse aux connaisseurs le soin de deviner de quelle partie il s’agit :
Ci-dessous quelques photos ? Moi je ne vois aucune photo. Enfin je dis ça je dis rien.
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idem, 1 jolie photo d’automne du mazet pour l’instant, pas de photos après le texte.
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Bon, j’espère que le problème est résolu maintenant.
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En effet je ne crois pas que l’effort physique soit la cause de l’épuisement que tu ressent, mais qu’est-ce!
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Une résidence princière !
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La photo s’appelant « chantier porte Mazet 013 », je dirais.. la porte d’entrée? 🙂
Vous avez prévu de poser une gouttière, ou bien?..
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Pour la gouttière, mon frère a eu une super idée, mais attendons de voir s’il la met à exécution.
Tu as sans doute raison Mildred, l’effort physique n’était pas la seule cause. Mais qu’est-ce!
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‘…Tu as sans doute raison Mildred,…’ Gentil Précaire, c’est la deuxième fois que tu écris ça suite à un de mes comms plus que touffus et étriquer, j’y vois comme le subtil éteignoir que mon fils aîné me communique régulièrement sans vraiment s’en rendre compte tellement il souhaite me protéger en s’exclamant d’un tonitruant »M’man! » si j’oublie mes doublons devant la belle-mère.Il a tellement honte de moi que je sois une vieille hippie qui ne respecte pas les conventions des bourgeois…
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